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Lieu de destination de la construction La
demande, le but et la cession ne comprennent pas la même chose. Le but de la construction est l’urbanisme. Cela correspond à la raison pour laquelle la structure a été construite. Il peut être résumé au « conteneur » du bâtiment.
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Le Code d’urbanisme (1) distingue désormais 5 : logement, activités commerciales et de services, équipements agricoles et forestiers d’intérêt commun et services publics, autres activités des secteurs secondaire et tertiaire.
Utilisation de la propriété
L’utilisation du bâtiment correspond à l’utilisation de la propriété. Il peut être restauré au « contenu » du bâtiment. Le Code de la construction et du logement (CCH) ne prévoit que deux utilisations : le logement et, d’autre part, toute autre utilisation. Enfin, la cession de biens ne comprend pas de situation juridique. L’expression est souvent utilisée pour désigner l’utilisation.
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Le taux de chaque
destination et utilisation n’a pas le même appel. En ce qui concerne la destination, les autorités examineront les normes d’urbanisme telles que le plan d’aménagement local et la nature des structures. Il y a une possibilité de les changer, sous réserve d’une déclaration antérieure. Si des travaux sont nécessaires, la demande de permis de construction est une demande de changement de destination.
Le concept d’utilisation permet d’équilibrer le logement, les ressources de bureau… et donc, surtout, la conservation du logement. En ce qui concerne la conversion de l’espace habitable en d’autres utilisations, elle peut être soumise au consentement préalable de la municipalité. L’objectif de cette mesure est de protéger le parc immobilier en limitant la conversion de logements en bureaux ou le développement d’appartements exclusivement destinés aux touristes.
Ce phénomène, très concentré dans certaines municipalités, appauvrit le parc de logements disponibles à la location pour les résidents. Face à cette observation, le Conseil municipal de Paris, comme beaucoup d’autres villes, a décidé d’appliquer cette disposition CCH après autorisation préalable.
Dans la pratique, comment se fait-il le changement d’utilisation ?
Compte tenu des politiques de conservation du logement, il est plus difficile de satisfaire aux demandes de modification de l’utilisation de la maison à une autre utilisation que d’autres, dans les villes qui conservent leur parc immobilier en termes de superficie. En conséquence, le propriétaire doit accompagner une demande d’indemnisation : la présentation d’une autre pièce pour une utilisation autre que l’appartement qu’il s’engage à convertir en appartement, ou une proposition de compensation financière.
Comment fonctionne la rémunération ?
Les chambres de peuplement ont une qualité et une superficie équivalentes à la zone sujette à des changements d’utilisation. Par exemple, les locaux situés au rez-de-chaussée ne peut pas servir de compensation. Les chambres de compensation doivent être situées dans le même district ou district administratif, en cas d’avantage de bureaux sur l’appartement, que les locaux changent. Enfin, les unités résidentielles susceptibles de changer d’utilisation et les salles de compensation doivent être converties simultanément.
Le coût d’une telle compensation
Dans la pratique, l’indemnisation est à la base de la cession de la commercialisation, c’est-à-dire le paiement d’une indemnité par le bénéficiaire de l’indemnisation, à une personne qui abandonne sa commercialisation, qui veut les acquérir pour convertir son locaux résidentiels dans des locaux commerciaux ou de bureaux. Le prix au mètre carré de commercialisation dépend de la superficie et de la qualité de l’émetteur (transfert par une personne morale ou physique ou par un bailleur social).
( 1) Conformément aux articles R. 151-27 du décret n° 2015-1783 du 28 décembre 2015 r. recodification du livre I Kodexual Urban